• Six jours après le déluge de grêlons, je me risque à aller faire un tour du jardin

    et je découvre avec grand plaisir

    Quelques raisons de ne pas désespérer

    la spirée japonica Shirobana toute pimpante.

    Je m'enivre du parfum

    Quelques raisons de ne pas désespérer

     du chèvrefeuille.

    J'imagine, ornant la gloriette, la guirlande future

    Quelques raisons de ne pas désespérer

     du rosier Bobbie James.

    J'apprécie la résistance

    Quelques raisons de ne pas désespérer

     de la plantureuse Annabelle.

    Je note l'envol sur le grillage

    Quelques raisons de ne pas désespérer

    Quelques raisons de ne pas désespérer

    du rosier liane Crimson shower.

    Je distingue par-ci, par-là

    Quelques raisons de ne pas désespérerQuelques raisons de ne pas désespérerQuelques raisons de ne pas désespérer

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quelques raisons de ne pas désespérerQuelques raisons de ne pas désespérer
    Quelques raisons de ne pas désespérer

     

     

     

     

     

     

     

     catananche, roses, clématites, gaura.

    Ouf, le jardin est toujours là!

     


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    Le jardin sans dessus dessous

    Le jardin sans dessus dessous


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  • En cinq minutes

    Désolation

    Désolation

    Désolation

    Désolation

    Désolation

    Désolation


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  • La fleur très parfumée du magnolia grandiflora vous aurait accueillis

     

    Si vous étiez venus

    Auriez-vous vu fleurir le stewartia rostrata

    Si vous étiez venus

     

    Le baguenaudier vous aurait peut-être intrigués avec ses gousses" sonores"

    Si vous étiez venus

     

    Vous auriez peut-être admiré le rosier Hiawathia 

    Si vous étiez venus

    ou la première échinacée

    Si vous étiez venus

    ou quelques roses de ci de là ( à droite les premières fleurs de Bobbie james, en bas New dawn, Dorothy perkins, Jubilé du prince de monaco)  

     

    Si vous étiez venusSi vous étiez venus

    Si vous étiez venus

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Si vous étiez venusSi vous étiez venusSi vous étiez venus

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le parfum du wattakaka  sinensis vous aurait sans doute attirés

    Si vous étiez venus

     

    Mais sachez que vous êtes toujours les bienvenus au Big garden. 

     

     


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